I am the walrus


L'une des master-pièces de ceux qui resteront intemporels : The Beatles

Explications de la chanson reprises de Wikipédia :
I Am the Walrus trouve son origine dans trois différentes idées de chansons sur lesquelles John Lennon travaillait. 
  • La première lui a été inspirée par le son d'une sirène de police qu'il a entendue de sa maison de Weybridge : Lennon écrivit « Mis-ter cit-y police-man » selon le rythme de la sirène.
  • La seconde idée était un court vers au sujet de lui-même dans son jardin (toujours de Weybridge)
  • La troisième idée était une chanson insensée à propos d'être assis sur un corn flake. Incapable de concrétiser ces idées en trois chansons distinctes, il choisit à la place de les combiner en une seule et unique.
Lennon décida alors d'écrire une chanson qui risquerait de donner du fil à retordre à quiconque voudrait l'analyser. Il demanda ainsi à Pete Shotton, un ami d'enfance, de lui citer quelques paroles de chansons que les enfants ont l'habitude de chanter. Shotton se souvint des mots : « Yellow matter custard, green slop pie, All mixed together with a dead dog's eye, Slap it on a butty, ten foot thick, Then wash it all down with a cup of cold sick » (Crème anglaise jaune et gâteau à la pâtée vert, mélangés avec l'œil d'un chien mort, fais-en un sandwich de trois mètres d'épaisseur, et fais-le passer avec une tasse de vomi froid). Lennon récupéra ces mots, les ajouta à ses trois chansons incomplètes, et le résultat donnera finalement I Am the Walrus. Selon Pete Shotton, Lennon aurait dit : « Voyons ce que ces connards seront capables de trouver là-dedans »1.
L'univers décalé de I Am the Walrus est inspiré d'une œuvre de Lewis Carroll, De l'autre côté du miroir, ou plus particulièrement d'une chanson qui s'y trouve : Le Morse et le Charpentier 
Lennon à Playboy, en 1980, il revient sur sa chanson :
« Pour moi, c'était (Le Morse et le Charpentier) un magnifique poème. Ça ne m'était jamais venu à l'esprit que Lewis Carroll était en train de commenter le capitalisme et le système social.…

Et les voici devenus classiques !
Chanson ... Hallucinante



Et puis apprécions ce qu'en avait fait le groupe Spooky Tooth à l'Olympia à Paris 1971. Le groupe est interviewé par Patrick Blanc-Francart dans l'émission légendaire Pop 2.
La version studio enregistrée sur l'album "The last puff" est devenue elle aussi historique...




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